Une connaissance approfondie de l’environnement chez les journalistes est bénéfique pour le Rwanda et les rwandais

 Après la formation que certains de jouralistes  ont reçue en trois jours environ, ainsi que la visite sur terrain qu’ils ont effectuée au Parc National de Nyungwe, affirment qu’avoir la connaissance approfondie sur la protection de l’environnement est plus utile pour le Rwanda et les rwandais.

Ce qu’on a pas cessé de répéter certains des journalistes qui ont  parlé ā amahumbezinews.rw, c’est que l’environnement a besoins de nous et que nous l’en avons besoin. Ont dit que l’environnement est un écosystème et le changement climatique , ainsi il est également lié ā la santé humaine en général, car lorqu’il est endommagé, il affecte la vie humaine et l’économie du pays.

L’un des journalistes familiers des histoires environnementales, Byukusenge Annonciata a donné un exemple en disant: ‘’ Dans les pays désertiques, il n’ya pas de forêts, nous connaissons tous les consequences pour la population locale. Par exemple, si nous abattons les forêts, le soleil nous tuerait, nos vies se détérioreraient et nous ne produiserions rien, la faim viendra vite chez nous et les rwandais le noieraient.

 Elle a ajouté que la chaleur élevée assèche les arbres, mais que les rwandais profitent les temps saisonniers differents. Elle a annoncé qu’après avoir acquis souffisamment de connaissances  supplémentaires sur l’environnement, qu’ils devraient enseigner et announcer au gens comment preserver l’environnement ā travers des reportages d’investigation, car l’environnement est la vie des gens et améliore l’économie du Pays.

Revenant sur les pertes que subiraient le Rwanda et les rwandais si l’environnement n’est pas protégé,  elle a déclaré: ’’ Pour que les animaux ne perdent pas leurs moyens de substance, voir que les gens ne perdent pas les fruits pour manger et respirer de l’air frais, il est necessaire de planter des arbres mélangés avec les plantes comestibles comme ils sont encouragés de le faire’’.    L’objectif que notre pays s’est fixé, il a été constaté que les arbres mélangé avec les plantes comestibles donnent des résultats  dans la lutte contre le retard de croissance chez les enfants et dans la réductions des maladies causées par la malnutrition. Chaque resident devrait avoir au moins 3 arbres fruitiers dans sa propre ferme et d’autres produiront du fourage pour le bétail partout où il pourra cultiver.

L’écosystème comprend des animaux  mangés par les humains, d’autres qu’on utilise dans la médecine traditionnelle et dans la culture rwandaise(sorcellerie), les gens vont les chasser dans la forêt car ils ne connaissent pas les informations sur la façon de les preserver et causera la perte de devise effectués par les touristes.

Byukusenge Annonciata a également continuer ā dire que les êtres vivants de l’écosystème doivent être protégés non seulement dans la forêt mais aussi dans nos familles, car chacun ā sa propre importance dans la vie humaine, que ça soit des souris, des insectes, etc .

Nyirabera Marie Chantal a dit également qu’un journaliste doit avoir suffisanment de connaissances, car l’environnement est une chose vaste et nécessite d’aborder une histoire, avoir visite sur terrain et bien comprendre ce qu’il ya dans l’écosystème comme les animaux, les arbres, les insectes, les plantes les humains, etc…

Elle a ajouté que faire la classe promenade permet de comprendre ce qui se passe sur terrain et ā quel point cela est important dans la société. Elle a donné un exemple d’un arbre appelé ‘’umukipfu’’, que les abeilles viennent d’y profiter les ingredients pour produire de la miel. Sans faire de voyage sur terrain on ne peut pas se render compte  qu’on peut proteger cet arbre ( umukipfu) en raison de son importance. On se rend compte que s’il ya des dégâts sur l’environnement , il y a aussi des dégâts sur la vie de la population.

Elle est également revenue sur les bénéfices des touristes comme gagner des devises qui peuvent être utilisées au profit du peuple et du pays en général ainsi que dans la construction des infrastructures ā savoir les hôpitaux, les écoles, les routes, etc…

Elle a ajouté: ‘’Le tourisme n’est pas seulement réservé aux étrangers, ils ne doivent pas être premiers de connaître la beauté de notre pays et c’est bien que cela réflète dans le nombre croissant de rwandais dans le programme de visite au Rwanda (Tembera u Rwanda). Donc, nous les rwandais, devons être bon image du Rwanda pour les étrangers.

Il s’agit de combler les lacunes en matière de reportage sur l’environnement.

Ces deux journalistes, ainsi que leur collèque Rwema Thiery, disent qu’ ils veulent qu’on comble le faussé des connaissances qui est encore visible dans les reportages sur l’environnement, car pour y parvenir, il faut une capacité suffisante pour qu’un journalite ait des connaissances suplémentaires.

Un exemple est donné  de l‘écoulement du sol  causé par les nivaux d’eau élevés provoqués par l’érosion. Il faut identifier la nature du problème et le combattre en plantant les arbres.

Les journalistes dissent encore que s’ils auraient  suffisament  de connaissances sur ces histoires , aideraient les décideurs ā protéger l’écosystème, mais comme les réaliser nécessite de réelles ressources financieres, il ya toujours un problème qui s’impose pour que les reportages d’investigation puissent être réalisés.

Ils disent encore qu’on cosidère toujours les choses comme normales et facile ,alors qu’ on doit adapter leurs connaissances aux temps dans lesquels on est arrivé selon le changement climatique. L’oeil du jornaliste est donc utile  et  puisse avoir les connaissances approfondies au reportange de l’environnement car il est vraimment nécessaire.

Les journalistes sont fiers des connaissances qu’ils ont acquises pour eduquer et  informer la population sur la protection de l’environnement. Cela est le resultat de la formation qu’a reçue les journalistes  et par la visite sur terrain au Parc National de Nyungwe.

 Le Parc National de Nyungwe est situé dans les Province Sud –Ouest du pays et couvre les Districts de Nyamagabe, Nyaruguru, Nyamasheke, Karongi et Rusizi. Il a une superfiicie de 1019 kilomètres Carrés  qui présente une variété d’écosystème notamment les arbres naturelles, les plantes, les oiseaux, les reptiles, les singes, etc…

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